Les monuments aux morts de la guerre de 1870 constituent les premiers exemples français de monuments rendant hommage aux Morts pour la Patrie citant à égalité les hommes de troupe et les officiers. Les premiers furent élevés dès les années 1870 pour commémorer les victimes françaises de cette guerre.

Il existe des monuments sans sépultures (cénotaphes), des monuments commémoratifs ou des tombes individuelles ou collectives (carrés militaires) de cette guerre dans quasiment tous les départements de la France métropolitaine ; cependant, ils sont beaucoup plus nombreux dans l'Est et le Nord de la France, en région parisienne, dans la région du cours médian de la Loire, le sud de la Basse Normandie, le Maine et la Bourgogne où se sont déroulés la plupart des combats.

Ils se présentent généralement sous la forme d'un socle supportant une œuvre d'art, d'un obélisque ou d'une stèle. La majorité de ces monuments, commémorant les morts de 1870, sont implantés dans les cimetières.

Tombes de soldats et monuments commémoratifs

Historique

Après un conflit qui dura du au , le traité de Francfort du , clôtura la guerre franco-prussienne de 1870-1871. Il stipulait, dans son article 16, que les deux États signataires s'engageaient, sur leur territoire respectif, à entretenir les tombes de soldats morts pendant le conflit.

Les soldats ne portant pas encore de plaque d'identification, étaient, le plus souvent, ensevelis anonymement dans des tombes collectives. Du côté français le nombre de militaires tués est estimé entre 105 000 et 140 000.

La loi allemande du régla la question des tombes militaires allemandes et françaises dans les trois départements annexés d'Alsace-Lorraine.

La République française entretint aussi l'esprit de revanche à travers les 900 monuments, nés d'initiatives privées, qui apparurent entre 1870 et 1914, leur inauguration étant l'occasion de fêtes civiques (remise de médailles aux vétérans, banquets de régiments) qui devinrent de véritables « fêtes de la revanche » à la suite de la défaite de 1870,. Ces fêtes mémorielles furent rapidement républicanisées avec la loi du sur la « conservation des tombes des militaires morts pendant la guerre de 1870-1871 », qui permit à l'État d'acheter les parcelles de cimetières ou d'exproprier les terrains où se trouvaient des sépultures.

Ces tombes ont été aménagées, entourées de grilles en fonte, correspondant à un modèle réglementé, avec une plaque portant la mention « Tombes militaires - Loi du  ». Dans le même temps, 25 ossuaires surmontés d'un monument ont été construits. Au total, de 1873 à 1878, l'État français a financé l'aménagement de 87 396 sépultures réparties sur 1 438 communes dans 36 départements. Dans ces sépultures, ont été ensevelis les corps de 37 859 Français, 21 876 Allemands, 27 661 Français et Allemands.

L'un des premiers monuments construits fut le monument national commémoratif de la guerre de 1870 à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle). L'édification de monuments commémoratifs a été, pour une part, l’œuvre du Souvenir français et celle des sections de vétérans. C'est à partir de la loi de 1890, laissant aux communes, l'initiative de leur érection, que l'on vit se multiplier les monuments aux morts de la guerre de 1870-1871, soit sur les emplacements de batailles, soit sur les places publiques, soit dans les cimetières communaux des villes et des villages.

Ils témoignaient également de la diffusion dans l'opinion de l'idéologie nationaliste, du culte du souvenir des morts au combat et pour une minorité, du désir de revanche sur l'Allemagne à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Interprétation

Cette guerre s'étant conclue par une défaite française, les vétérans cherchèrent à oublier cet aspect pour mettre en valeur des actes héroïques individuels. Les monuments érigés, comme les commémorations, étaient donc souvent issus d'initiatives locales. Néanmoins, au niveau national, ils permirent également de consolider la Troisième République, en perpétuant le souvenir de ces morts au combat héroïsés. Le mouvement, d'abord local (sous la forme de monuments, comme de croix dans les cimetières, des obélisques ou des plaques) fut prolongé au niveau national en étant financé et organisé par l'État. Cela permit ainsi de forger l'identité républicaine des citoyens lors des inaugurations et des célébrations autour du monument érigé. Lors de celles-ci, les écoles, les bataillons scolaires, les sociétés patriotiques et gymniques, les autorités politiques, militaires et religieuses et surtout les amicales de vétérans furent sollicités. Par ces festivités (discours, parades, jeux, musique militaire ou funèbre, rues pavoisées, foule nombreuse, banquets, etc.) invitant les communautés urbaines ou villageoises à communier ensemble, souvent en novembre lors de la fête des morts, le souvenir de la défaite permit de préparer des esprits à la revanche future, comme le rappelle par exemple une plaque sur le monument d'Héricourt : « Leur défaite est encore une victoire ». Ces monuments œuvraient aussi à l'éducation patriotique et historique des jeunes générations, prenant naturellement leur place dans le « roman national ».

À la veille de la Première Guerre mondiale, chaque département était doté d'au moins un monument, pouvant atteindre 49 dans le Loiret. Paris en comptait sept, l'Algérie française au moins trois. Leur nombre augmenta dans les zones qui avaient été envahies (Picardie, Nord-Est, Val de Loire, Bourgogne), ou qui fournirent beaucoup de soldats (Sud-Ouest).

L'historien Rémi Dalisson souligne que la monumentalisation du souvenir de la guerre franco-prussienne prépara et inaugura des pratiques qui furent réutilisées après le premier conflit mondial pour honorer les morts le 11 Novembre. Néanmoins, elle s'en distinguait dans la mesure où la mémoire de la guerre franco-prussienne mettait l'accent sur la revanche, un « catéchisme belliqueux », alors que celle de la Grand Guerre insista sur l'idée de clore le chapitre des guerres. Quoi qu'il en soit, ce cérémonial « accoutume les Français à la commémoration de la guerre, de la souffrance et des combats pour une cause » écrit l'historien. Le portrait que ces cérémonies dressaient du parfait républicain (« revanchard prêt à mourir pour la patrie, bon citoyen et bon élève du récit national Lavissien ») préfigurait aussi l'archétype du Poilu, qui marqua durablement l'entre-deux-guerres.

Caractéristiques

Les monuments portent souvent des noms liés à l'esprit de « revanche », l'espoir de retrouver l'Alsace et la Lorraine restant omniprésent : ainsi, La Revanche à Vic-en-Bigorre ou Gloriae Victis à Châlons-sur-Marne. Parfois, des sculpteurs célèbres sont mobilisés, comme Auguste Bartholdi pour le Lion de Belfort. Aristide Croisy et Aimé Millet sont notamment particulièrement prisés pour leurs statues de soldats, souvent en bronze. On distingue aussi des monuments faisant appel à des figures de l'Histoire de France (Jeanne d’Arc qui « relève l’épée de la France vaincue » sur le monument de Domrémy), du conflit franco-prussien (Louis Faidherbe pour celui Lille), des figures maternelles (éplorées, martiales, etc.), Marianne au tournant du siècle, ou encore des animaux symboles (le coq gaulois à Saint-Étienne). Sont aussi figurés des armes prises à l'ennemi, des obus et des chaînes brisées. Ces mémoriaux sont souvent situés sur des places ou des rues dont les noms rappellent la République.

Exceptionnels, on compte aussi quelques monuments aux morts pacifistes : celui du cimetière du Père-Lachaise (Paris) est réalisé par l'ancien combattant Albert Bartholomé ; il est inauguré en 1899 devant quelque 90 000 personnes. Parfois, des scandales ont lieu, après que des militants d'extrême gauche ou anarchistes placardent des slogans pacifistes sur les monuments (comme à Pont-Noyelles en 1913). À l'inverse, les inaugurations de monuments peuvent parfois donner lieu à une instrumentalisation de la mémoire de 1870 par l'extrême droite, pour promouvoir le boulangisme anti-républicain. Après la loi de 1905, certaines croix ornant les monuments sont critiquées, voire retirées.

Contrairement aux monuments de la Première Guerre mondiale produits le plus souvent en série, à une époque postérieure, les monuments de la guerre de 1870 sont, dans leur grande majorité, des œuvres uniques. Leur intérêt architectural et artistique réside dans leur grande diversité, réalisés par des artistes affirmés, à l'âge d'or de la sculpture de la fin du XIXe siècle ou de simples stèles. Ils sont de formes variées : colonne, colonne tronquée, obélisque, obélisque tronqué, pyramide ou simple borne etc. accompagné ou non de statues avec inscription d'une dédicace et éventuellement du nom des victimes.

Cependant, quelques monuments furent reproduits en séries. Il s'agit notamment des statues du « marin », du « mobile en armes » ou du « mobile au drapeau » qu'on retrouve un peu partout en France. Enfin Le Souvenir français, créé en 1887 pour perpétuer la mémoire des soldats, a financé la fabrication de plaques de bronze émaillé sur lesquelles était inscrit le nom des victimes. Ces plaques furent apposées dans les cimetières communaux ou sur les murs des monuments publics (mairie, école etc.).

Un certain nombre de monuments furent détruits pendant la Première ou la Seconde Guerre mondiale, d'autres ont eu leurs statues de bronze refondues par l'ennemi. Certains furent transformés, déplacés ou remplacés au cours du XXe siècle.

Des tombes individuelles ou collectives (ossuaires) ont été édifiées, le plus souvent dans les cimetières communaux, conformément à la loi de 1873. Des monuments à la mémoire de chefs de guerre où d'hommes politiques ont également été érigés, entre 1871 et 1914. La plupart des ossuaires furent surmontés d'un monument parfois grandiose parfois revêtant la forme classique d'un obélisque.

Liste des monuments commémoratifs et lieux de mémoire

Sont indiqués dans cette liste les monuments aux morts, les monuments commémoratifs de batailles, combats, événements, les monuments et statues érigés en mémoire des chefs militaires et politiques, les ossuaires, cimetières, tombes et autres lieux de mémoire de la guerre de 1870-1871, classés par ordre alphabétique de région, puis de département et de commune.

Auvergne-Rhône-Alpes

Ain

Allier

Ardèche

Cantal

Drôme

Haute-Loire

Haute-Savoie

Isère

Loire

Puy-de-Dôme

Rhône

Savoie

Bourgogne-Franche-Comté

Côte d'Or

Doubs

Haute-Saône

Jura

Nièvre

Saône-et-Loire

Territoire de Belfort

Yonne

Bretagne

Côte d'Armor

Finistère

Ille-et-Vilaine

Morbihan

Centre-Val de Loire

Cher

Eure-et-Loir

Indre

Indre-et-Loire

Loir-et-Cher

Loiret

Corse

Corse-du-Sud

Haute-Corse

Grand Est

L'Alsace a été annexée à l'Empire allemand par le traité de Francfort de 1871 jusque 1918.

Il a été érigé en Alsace 81 monuments commémoratifs de la guerre de 1870 (40 allemands, 34 français et 7 mixtes) 77 dans le Bas-Rhin, 4 dans le Haut-Rhin.

Ardennes

Aube

Bas-Rhin

Haut-Rhin

Haute-Marne

Marne

Meurthe-et-Moselle

Meuse

Moselle

Le département de la Moselle fut annexé au Second Reich par le Traité de Francfort de 1871 jusque 1918.

Vosges

Hauts-de-France

Aisne

Nord

Oise

Pas-de-Calais

Somme

Île-de-France

Essonne

Hauts-de-Seine

Paris

Seine-et-Marne

Seine-Saint-Denis

Val-de-Marne

Val-d'Oise

Yvelines

Normandie

Calvados

Eure

Manche

Orne

Seine-Maritime

Nouvelle Aquitaine

Charente

Charente-Maritime

Corrèze

Creuse

Deux-Sèvres

Dordogne

Gironde

Haute-Vienne

Landes

Lot-et-Garonne

Pyrénées-Atlantiques

Vienne

Occitanie

Ariège

Aude

Aveyron

Gard

Gers

Haute-Garonne

Hautes-Pyrénées

Hérault

Lot

Lozère

Pyrénées-Orientales

Tarn

Tarn-et-Garonne

Pays de la Loire

Loire-Atlantique

Maine-et-Loire

Mayenne

Sarthe

Vendée

Provence-Alpes-Côte d'Azur

Alpes-de-Haute-Provence

Alpes-Maritines

Bouches-du-Rhône

Hautes-Alpes

Var

Vaucluse

Monuments disparus

  • Albert (Somme) : Monument patriotique en l'honneur de la libération de la ville, le , par le Général Faidherbe et l'Armée du Nord et en hommage aux 19 hommes de la ville et du canton morts pendant la guerre. Édifié en 1900, grâce à une souscription publique, le monument fut complété d'une statue en bronze d'un soldat blessé, œuvre du sculpteur Albert Roze, en 1902. L'ensemble est détruit pendant la Première Guerre mondiale.
  • Brest (Finistère), monument détruit pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Caen (Calvados), monument à la mémoire des enfants du Calvados morts pour la patrie, 1870-1871, réalisé par Arthur Le Duc. Il est inauguré en 1889 sur la place Alexandre III (renommée depuis place du 36e régiment infanterie). Il est détruit par les bombardements de 1944.
  • Charleville-Mézières (Ardennes) : Monument des Ardennais, ou monument commémoratif de 1870, ou L'Invasion, réalisé par Aristide Croisy, inauguré le , un peu plus d’un an après le départ des Prussiens. La statue en bronze est déboulonnée par les autorités allemandes en 1918, envoyée en Allemagne et fondue.
  • Dijon (Côte-d'Or): Monument à Garibaldi : architecte Deshérault, Paul Auban, sculpteur. Garibaldi était représenté debout, la tête haute, regardant vers la frontière, sa main gauche appuyée sur son sabre, sa droite étendue sur l'autel de la liberté où étaient déposés les attributs de la servitude brisés en morceaux et une couronne de laurier. Sur le socle en granite des Vosges étaient gravées les inscriptions suivantes DIJON A GARIBALDI élevé par souscription MDCCCC. En 1944, la statue est déboulonnée par les Allemands et disparait.
  • Douvrin (Pas-de-Calais) : monument aux morts 1870-1871 inauguré en 1907 et détruit pendant la Première Guerre mondiale.
  • Lille (Nord) Monument commémoratif de la défense nationale en 1870 datant de 1894, dédié en premier lieu à Achille Testelin. Détruit par les Allemands en 1918. Sculpteur : Bonnier Robert Coin ; architecte : Louis Marie Cordonnier
  • Mauriac (Cantal), construit en 1877 en pierre de Volvic et inauguré sur une initiative privée, il a été démonté vers 1965 et ses pierres réutilisées.
  • Merville (Nord) : réalisé par Aristide Croisy, situé dans le jardin public. Il est détruit pendant la Première Guerre mondiale.
  • Moreuil (Somme) : réalisé par Aristide Croisy. Il est inauguré le 17 octobre 1906 sur la place de l'église. Il est détruit en 1916. Sur le revers du monument aux morts réalisé en marbre par Albert Roze, inauguré le 14 août 1924, en présence du général Charles Nollet, figure, en haut, en médaillon la tête sculptée d'un soldat français de 1870 avec la liste des morts 1870-1871.
  • Pontoise (Val-d'Oise) Fondu sous le régime de Vichy (), dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux
  • Roanne (Loire), monument inauguré en 1893, bronze de Eucher Girardin.
  • Saint-Quentin (Aisne): Monument de la défense de Saint-Quentin en 1870, œuvre de Louis-Ernest Barrias, érigé en l’honneur des citoyens de Saint-Quentin qui repoussèrent victorieusement un corps des troupes allemandes dans la journée du et des soldats de l’Armée du Nord qui luttèrent contre les forces trois fois supérieures dans la bataille du , fut inauguré le . Trop endommagé pendant la Première Guerre mondiale, il n'est pas reconstruit.
  • Verdun (Meuse) : Monument aux défenseur de Verdun, siège de 1870 ou L'Effort ou Monument de la Défense, réalisé par Eugène-Jean Boverie. Fondu sous le régime de Vichy, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux.
  • Wassy (Haute-Marne), monument détruit.

Monuments commémoratifs et lieux de mémoire dédiés aux soldats français, hors de France

En territoire allemand, il existe aussi au moins un mémorial, le « cimetière d'honneur » ou « vallée d'honneur », situé dans le jardin franco-allemand de Sarrebruck, qui contient les tombes de soldats tombés au combat des deux côtés lors de la bataille de Forbach-Spicheren du , inauguré le .

En Suisse, MémorialGenWeb a recensé 128 communes possédant un mémorial, une stèle, un carré militaire en rapport avec des morts français, par suite de blessures ou maladies, de l'armée de l'Est qui s'était réfugiée dans ce pays,.

Notes et références

Notes

Références

Voir aussi

Bibliographie

Généralités

  • Stéphane Audoin-Rouzeau, 1870. La France dans la guerre, Paris, Éditions Armand Colin, 1989.
  • Émile de Marcère, Exécution de la loi du 4 avril 1873 relative aux tombes des militaires morts pendant la guerre de 1870-71, Imprimerie nationale, 1878.
  • Pierre Milza, L'année terrible - La guerre franco-prussienne - , Paris, Éditions Perrin, 2009 (ISBN 2 262 024 987).

Mémoire de la guerre

  • Pierre Allorant, Walter Badier et Jean Garrigues (dir.), 1870, entre mémoires régionales et oubli national. Se souvenir de la guerre franco-prussienne, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2019.
  • Jean-Pierre Chaline, « Témoins d'une guerre oubliée : les monuments commémoratifs de 1870-71 en Haute-Normandie », Études normandes, nos 58-1,‎ , p. 4-16 (lire en ligne)
  • Jean-François Chanet, François Cochet, Olivier Dard, Éric Necker et Jakob Vogel (dir.), D'une guerre à l'autre : que reste-t-il de 1870-1871 en 1914 ?, Riveneuve éditions, 2016.
  • Rémi Dalisson, Les guerres et la mémoire, enjeux identitaires et célébrations de guerre en France, 1870 à nos jours, Paris, CNRS, 2013.
  • Rémi Dalisson, « Les racines d’une commémoration : les fêtes de la Revanche et les inaugurations de monuments aux morts de 1870 en France (1871-1914) », Revue historique des armées, 274, p. 23-37.
  • Jean-François Decraene (préf. Claude Guy), Lieux de mémoire des deux sièges, 1870-1871 : guide des Hauts-de-Seine, Trouville-sur-Mer, Librairie des Musées, coll. « Gloria Victis », , 160 p. (ISBN 9782354040864). D'autres publications sont à venir pour le reste des départements franciliens (Olivier Bureau, « Île-de-France : un historien vous guide sur les traces de la guerre oubliée de 1870 », sur Le Parisien, (consulté le )).
  • Jean-François Decraene, Lieux de mémoire des deux sièges 1870-1871 : guide de la ville de Paris, Librairie des Musées, coll. « Gloria Victis », 2022.
  • Éric Sergent, 1870-1871, Souvenirs d'une défaite, Dijon, Editions universitaires de Dijon, 2020.
  • (en) Karine Varley, Under the Shadow of Defeat: The War of 1870-71 in French Memory, Basingstoke, Palgrave, 2008.

Articles connexes

  • Guerre franco-allemande de 1870
  • Monument aux morts
  • Cimetière militaire
  • Lieux de mémoire
  • Devoir de mémoire

Liens externes

  • MémorialGenWeb
  • Société des vétérans
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